Plusieurs années en arrière, J'ai appelé moi-même un activiste politique. J'ai désiré voir changer en matière de gouvernance et faisait partie d'un mouvement étudiant préconisant un gouvernement qui serait démocratique, inclusives et non discriminatoires et un gouvernement qui entraînerait des opportunités socio-économiques, participation politique et prospérité pour les masses. Ce sont les jours où on m'a dit par mes parents qu'en tant que femme je ne pourrais pas étudier les sciences politiques ou s'impliquer dans des activités politiques que ceux-ci étaient perçus comme étant l'apanage des hommes. J'ai contesté cette idée et a osé faire ce que je croyais était mon droit de choisir et de poursuivre mes rêves comme un individu.
J'ai réalisé avec le temps que je n'étais pas seulement un activiste politique, mais un militant des droits de la femme. J'ai fini par comprendre qu'en tant que femme J'étais pas moins d'un être humain à cause de mon maquillage biologique, et qui est simplement qu'une femme avait aucune raison pour moi qui doit se tenir dans la servitude par les règles, règlement d'exécution, valeurs et normes sociales créé et perpétuent par les hommes. Aujourd'hui, Je me nomme une féministe parce que je crois dans les droits des femmes et leur pleine jouissance de ces droits sans aucune condition. Je crois que les femmes ont des droits égaux ci-dessus, sur, et sous la terre, et sont merveilleusement créés tout comme les hommes sont.
Je sers actuellement comme le premier dirigeant d'une organisation appelée le réseau des femmes de paix au Libéria (WOLPNET). Mon travail avec WOLPNET a débuté en 2006 Après avoir quitté une cession nommée sous-ministre des affaires étrangères à l'Administration. Mon désir de contribuer à l'épanouissement des femmes dans un contexte socio-économique et politique au niveau communautaire propulsé moi pour valider mes efforts et les compétences à construire une institution forte axée sur les femmes par le biais de laquelle les droits des femmes, questions et préoccupations peuvent être adressées. Beaucoup de choses est plus facile à dire qu'à faire, mais la déclaration de culpabilité dans une cause a rendu possible pour moi de prêcher par l'exemple. J'ai motiver et aider les femmes tous les jours à suivre leurs vrais sentiments.
Nous sommes toujours aux prises avec un monde où la situation des femmes comme définie, tracée et cultivée par la société lieux nous dans un rôle subalterne aux hommes. Je crois fermement qu'il s'agit d'une cause fondamentale du sous-développement, marginalisation, exclusion, discrimination, et les abus droit humains de femmes ainsi que le social continu et croissant, crise économique et politique de notre continent. Il est inquiétant de penser qu'au XXIe siècle une femme en Afrique est toujours considéré comme un rebelle, peu, unstable, une mauvaise influence et une mère inapte et la femme si elle ose à remettre en question le statu quo de la domination masculine, et exiger l'égalité des droits.